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La
pègre européiste a les mêmes méthodes partout
en Europe (février 2000)
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Britain
in Europe avait commandé à un institut indépendant
réputé, le NIESR (National Institute for Economic and Social
Research) une étude sur les conséquences économiques
d'un éventuel départ de l'Angleterre de l'UE. Dans son esprit,
les conclusions attendues de cette étude ne faisaient pas de doute:
si la Grande-Bretagne, la malheureuse, quittait l'UE, c'en serait fait
d'elle: son économie s'écroulerait, tous les emplois fondraient
comme neige au soleil, l'inflation la ravagerait. À côté,
le passage de la Luftwaffe sur Coventry aurait l'air d'un aimable pique-nique.
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Le
ciment de l'Europe de l'Est et de l'Ouest (février 2000)
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L'Europe
de l'Est eurosceptique Ainsi, Vaclav Havel, le président tchèque,
doit-il périodiquement quitter son lit de souffrances pour exhorter
ses très nombreux compatriotes eurosceptiques à de meilleurs
sentiments envers l'UE. À Varsovie comme à Vilnius, l'UE
n'enthousiasme guère plus qu'à Prague, se désole l'européiste
Financial Times (10/01/00)
"Au milieu des grandes célébrations
du 10è anniversaire de la chute du mur de Berlin et de la révolution
de velours tchèque, des voix exprimant la déception, la désillusion
et même de l'anxiété se sont élevées
d'Europe centrale et orientale. Ce choeur va probablement s'amplifier cette
année, quand les véritables négociations pour l'entrée
dans l'Union européenne commenceront. (...) Le soutien populaire
à l'Union européenne diminue actuellement, même dans
les pays dont les politiciens sont les plus partisans de l'adhésion.
Jacek Kucharczy, un politologue polonais déclare que ses études
font apparaître que le soutien de la population est tombé
sous les 50%, pour la première fois depuis le début des années
90. Un sondage du mois dernier a montré un soutien de quelque 30%
en Lituanie."
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L'Europe
de l'Ouest de plus en plus eurosceptique Depuis 1973, la commission
européenne réalise deux fois par an un sondage auprès
des ressortissants de l'UE, l'Eurobaromètre. Pour la première
fois depuis la création de cet instrument, ceux qui répondent
OUI à la question "la participation de votre pays à l'UE
est-elle une bonne chose" ne sont plus majoritaires. Ils ne sont plus
que 49% au printemps 99, alors qu'ils étaient 54% six mois plus
tôt. Plus réjouissant encore, les Français, qui se
caractérisaient autrefois par une europhilie nettement supérieure
à la moyenne européenne, semblent désormais plus lucides:
ils ne sont plus que 47% à s'imaginer que la participation à
l'UE puisse être bénéfique pour la France, alors qu'ils
étaient 61% à partager cette illusion en 1973.
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le site de la DGX de la comm' (http://europa.eu.int/comm/dg10/epo/eb/eb_fr.html) Voir les résultats pour chaque pays Si l'engouement pour l'Union européenne a beaucoup décru en Europe de l'Est, cela semble également le cas à l'Ouest, confirmant que le seul véritable ciment de l'unité européenne semble être... l'euroscepticisme. |
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Raisons
de l'euroscepticisme de l'Est
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Les
devoirs sans les droits
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On leur fait la gueule, on planque l'argenterie au moment où ils entrent, on leur sert des plats différents, on s'évertue à ce qu'ils ne prennent pas part aux conversations, et -ô surprise- les Européens de l'Est boudent le festin européen! Ces gens-là sont d'une susceptibilité! |
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